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DUNE

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ODILE TREMBLAY DU JOURNAL LE DEVOIR
« Le film est un éblouissement visuel, sous caméra de Greig Fraser, avec de magnifiques cadrages, une lumière baignée souvent de clair-obscur, d’impressionnants décors et d’effets spéciaux dont Villeneuve n’abuse pas. »
MAXIME DEMERS DU JOURNAL DE MONTRÉAL
« Une semaine après avoir fait sensation à la Mostra de Venise, Denis Villeneuve a été accueilli en roi, samedi, au Festival du film de Toronto, où il a présenté, en première nord-américaine, son très attendu DUNE. Notre verdict? Une grande fresque épique et magistrale menée de main de maître par le cinéaste québécois. »
ALLOCINÉ
« Denis Villeneuve a réalisé un grand film de SF, ambitieux, pédagogue, riche en action et magnifiquement photographié. Les acteurs, bien dirigés, apportent le supplément de vie qui aurait pu manquer et faire de  DUNE une œuvre d’un intérêt uniquement visuel. »
FRANCE INFO CULTURE
« DUNE révèle sa complexité dans l’univers qu’il décrit. Tant d’un point de vue écologique que climatique e t géopolitique, certains diront philosophique. Publié en 1965, le roman de Frank Herbert résonne avec d’autant plus de puissance aujourd’hui que ces thématiques n’ont jamais été autant d’actualité. Coïncidence, Denis Villeneuve en donne aujourd’hui la version cinéma la plus aboutie et la plus fidèle au roman jamais réalisée. »
[...]
DUNE TEL QUE DENIS VILLENEUVE EN A PARLÉ DANS SA PRÉFACE LA NOUVELLE TRADUCTION FRANÇAISE DU LIVRE ET TEL QU'IL A RÉUSSI À L'ILLUSTRER DANS SON FILM.
« Dune fait vibrer les cordes inconscientes de notre perception première du monde, pour y retrouver une dimension sacrée, une pensée en relation avec le merveilleux du vivant, avec l’Ayat, le signe de vie. Parce que notre futur verra notre relation à la Mère Première redevenir sacrée, ou il ne sera pas. » |
 


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CItation

« Après avoir fait courir les cinéphiles de Québec pendant 25 ans, l’heure est maintenant aux adieux pour les Rencontres Ciné-Psy. Un total de 125 rencontres ont eu lieu à travers toutes ces années, dont certaines ont mis en vedette des journalistes du Soleil.

 

C’était devenu une vénérable institution pour les amateurs de long métrage dans la Capitale-Nationale. «On avait des gens qui venaient à toutes les Rencontres, c’était de véritables fidèles», confie Marcel Gaumond, celui qui est derrière le projet depuis le tout début.

[...]

La formule des Rencontres était toute simple. Il s’agissait de réunions où l’on débattait d’un film et des enjeux qu’il soulève. La discussion tournait non seulement autour d’un long métrage, mais était aussi nourrie des propos d’un conférencier.

[...]

L’idée de génie lui est venue lors d’un souper avec le directeur du cinéma Le Clap de l’époque, Michel Aubé, en 1995. L’étincelle n’a pas été causée par les réminiscences des auberges de Zurich, mais bien par des souvenirs ancrés ici, sur le chemin Sainte-Foy. «Quand j’avais 19 ans, on avait fondé une boîte à chansons où il y avait eu non seulement des chanteurs, mais des expositions artistiques, du théâtre, etc. [...] Alors je dis à Michel, qu’est-ce que tu dirais si on faisait des rencontres, mais sous forme de discussions qui porteraient sur des films ?» raconte M. Gaumond. Des réunions à saveur artistique comme celles qui avaient lieu dans les boîtes à chansons, auxquelles on ajoute les discussions chaleureuses des auberges de montagne, voilà qui en faisait une idée très originale.

 

Semble-t-il qu’elle n’était pas trop éclatée pour M. Aubé, puisqu’il aurait tout de suite accepté l’offre. Ce fut un choix judicieux, car les Rencontres sont devenues très populaires au fil du temps. [...] »

 

Extraits de l’article « Les rencontres Ciné-Psy auront duré un quart de siècle »