« … ne plus continuer à tourner le dos et rester aveugle à la souffrance de ces enfants qui se débattent comme ils peuvent dans ce capharnaüm qu’est devenu le monde (…) parce que l’enfance mal aimée est à la base du mal dans le monde » Propos tenu par Nadine Labaki, réalisatrice du film Capharnaüm, au moment où elle s’est vue décerner le Prix du jury au festival de Cannes 2018
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